Un certain nombre de prétendument « citoyens » mais en Soros en réalité, caporaux du réseau Afrique et l’opposition radicale rejoints par certains prélats catholique assoiffés du pouvoir politique, avaient décide novembre démarrage d’une de faire de la date du 15 novembre 2017, le moment du démarrage d’une période de troubles devant conduire à la chute du régime légalement en place 2017.Le peuple congolais a répondu. En ce jour 15 novembre 2017, la situation, est calme, non seulement dans la capitale mais aussi dans toutes les grandes villes de la République.
Comme d’habitude, la capitale congolaise s’est réveillée autour de 5 heures du matin par les bruits des bus de transport public qu’accompagne la lente marche des mamans vendeuses de pains et autres « lève-tôt qui, en file indienne, descendent vers les quartiers commerciaux de la ville pour vaquer à leurs occupations. Comment ne pas constater qu’entre les rêveries de mauvais alois des Tshisekedi, Kamitatu, Dokolo et l’opinion publique dominante en République Démocratique du Congo, il y a comme un gouffre ? La responsabilité de militant nationaliste que je suis est de tout mettre en œuvre pour tenter, une fois de plus, de sortir ces frères congolais de l’égarement ou ils s’engouffrent pour les remettre sur le droit chemin.
Dans le contexte congolais, quel est ce droit chemin ?
Instruit par l’histoire des processus électoraux depuis que, suite à de nombreuses luttes et par le fait de Joseph Kabila, nous sommes rentres en démocratie, la proclamation des résultats électoraux ont toujours failli plonger le pays dans la guerre civile. Lorsque l’on est démocrate, partisan de la paix et du progrès, et quelque peu sage, aucune autre question ne devrait nous préoccuper plus que celle de l’organisation des élections libre transparentes, crédibles et apaisées. C’est là, la condition sine qua non pour concrétiser n`importe quel projet politique. En ce domaine, il n’y a aucune alternative.
Sans la paix il n’y aura rien. Le peuple congolais l’a compris, il l’a si souvent exprimé en silence que certains politiciens ne comprennent toujours pas le Sens du refus de la population d’entrer dans ce jeu malsain, lorsque quelques agités déclenchent des troubles qui rarement dépassent 2 a 3 heures de temps. Maintenant que le Chef de l’Etat a donné la preuve de sa volonté de respecter la Constitution en acceptant explicitement le calendrier présenté par la CENI et que la plupart des partis politiques du pays ont exprimé leur accord, qu’est-ce qui pourrait encore justifier les troubles ? Revenir sur le droit chemin c’est se mettre dans la logique de la préparation des élections parce que, quelles que soient les difficultés qui ne manqueront pas de parsemer cette route, le Gouvernement ne s’en détournera pas.
Que d’obtenir la complicité de certaines puissances étrangères, qui ne cachent pas leur objectif de dominer et de balkaniser notre pays, ne changera rien à la détermination du peuple congolais de défendre sa liberté et sa souveraineté acquises au prix du sang. Il serait donc sage que ceux qui, jusqu’ici, investissent encore dans le schéma insurrectionnel reviennent au bon sentiment. Ils doivent réviser leurs calculs politiciens. Ceci, pour permettre à notre pays et surtout à notre peuple de tenir la promesse inscrite en lettres d’or dans l’hymne nationale : « nous bâtirons un pays plus beau qu’avant ». Dans cette quête de paix et de progrès, la date du 15 novembre 2017 revêt désormais un caractère particulier. C’est le jour ou quelques égarés, appuyés par des puissances étrangère et même par la Monusco, organisation censée nous aider consolider la paix ont lamentablement échoué dans leur projet de mettre la République Démocratique du Congo à feu et à sang. Le 15 novembre devrait être proclamée « journée congolais de la paix »
K.M./L’Observateur