Une enquête réalisée à Goma au mois de juin dernier par l’ONGD encadrement des personnes vivant avec handicap et des orphelins contre la malnutrition révèle que le jet des sachets et autres emballages en plastic, constitue un danger public et écologique imminent dans cette ville chef-lieu du Nord-Kivu où aucun mécanisme n’est jusque-là arrêté par l’autorité compétente.
Selon cette enquête, les endroits les plus touchés pour le moment sont les espaces à ciel ouvert tels les marchés, les terrains de football, les parkings et les jardins domestiques.
Pour l’ONG Handicapés et Orphelins contre la malnutrition, le fait d’éparpiller les sachets sur le sol finira par constituer une couche difficile à assurer l’infiltration des eaux de pluies avec le risque de rendre impossible la croissance des plantes.
Le rapport qui fait également craindre l’appauvrissement des surfaces cultivables, allusion faite aux jardins domestiques, potagers, trouve qu’il s’agit d’un danger surtout pour la plus part des familles qui s’adonnent à la culture maraichère n’auront plus nulle part où recourir surtout le soir.
L’ONGD conseille la destruction systématique par incinération de tout emballage en plastic après l’utilisation en plus de l’implication sollicitée auprès du pouvoir public en vu d’envisager surtout le recyclage de tout produit plastic usager.
ACP/Kingombe/KMS