L’alcoolisme une maladie sociale qui coûte cher à la collectivité, selon une étude.

L’alcoolisme  est une maladie sociale qui coûte cher  à la  collectivité et ses méfaits ne se limitent pas seulement à l’alcoolisme mais s’étendent également au niveau des familles  et de  la société avec des conséquences néfastes, révèle un  document de la biologie géologie parvenu mercredi à l’ACP.

D’après le document, les dépenses imputables à l’alcoolisme  sont de nature très variée et il est difficile d’en  évaluer le coût avec exactitude.

Un automobile peut devenir un instrument dangereux  et mortel entre les mains d’une personne  légèrement ivre, fait remarquer le document pour lequel les statistiques  dans  ce secteur sont éloquentes.

L’alcool est responsable  de 33 %  d’accidents tandis qu’une  ivresse  entraîne  de la modification du comportement, note le document. ACP/Kingombe/KMS