Une nouvelle reconfiguration du bureau de l’assemblée nationale est en train de s’esquisser à l’assemblée nationale avec la désignation aux postés laissés par les frondeurs du G7 des nouvelles figures de prou de la Majorité Présidentielle, MP
La reconfiguration occasionnée par la série de démissions des membres du G7 semble n’avoir pas encore livré ses derniers secrets dans les deux principes les institutions de la république concernées, à savoir le gouvernement et l’assemblée nationale.
Si au sein de la première institution, le réaménagement intervenu récemment a permis au gouvernement de combler le vide laissé par le départ du G7, au niveau de l’assemblée nationale par contre, les choses semblent encore loin de se préciser.
D’après les informations qui circulent dans les couloirs du Palais du peuple, qui abrite les locaux de la chambre basse, le bureau de cette institution pourrait subir une profonde reconfiguration.
Celle-ci porterait, indique-t-on, sur la quasi-totalité, sinon sur l’ensemble des postes que compte le bureau de l’assemblée nationale et non sur les deux postes laissés vacants âpres la démission des membres du G7, à savoir le poste de premier vice-président et celui de rapporteur.
A en croire ceux qui soutiennent cette hypothèse, une pétition émanant de la majorité parlementaire serait en gestation pour obtenir le départ du président de l’assemblée nationale et les autres membres du bureau.
Tandis qu’une autre version parle plutôt d’un tout nouveau bureau de l’assemblée nationale avec seul Aubin Minaku comme président et qui comprendrait des membres de l’opposition à trois postes.
Une nouvelle donne qui peut bien expliquer les tractations entamées par le président de l’assemblée nationale depuis lundi dernier.
Tractations commencées à l’hôtel Venus ou il s’est entretenu en premier lieu avec les députés nationaux de l’opposition.
Hier mardi, toujours au même endroit et dans les après-midi, Aubin Minaku a échangé avec les députés nationaux de la majorité présidentielle.
Signalons que ces consultations ont même perturbé beaucoup d’agendas au niveau de la chambre basse en ce qui concerne notamment le calendrier de l’élection des nouveaux membres du bureau, et même convocation des plénières.
En effet, c’est en principe mardi 13 octobre que l’on devrait procéder a l’affichage de la liste des candidats a différents postes qui seront concernés par cette élection initialement prévue pour ct jeudi 15 octobre.
A cet égard, le président de l’Assemblée nationale pourrait présenter au cours de la plénière prévue aujourd’hui mercredi, un nouveau calendrier réaménagé.
L’Observateur