La journée internationale de l’amitié commémorée le 30 juillet de chaque année a été conçue pour favoriser combler le fossé entre la race, les couleurs, les tribus, la religion et autres facteurs qui empêchent les humains de jouir de l’amitié les uns avec les autres, a expliqué un activiste des droits humains, au cours d’un entretien ce dimanche avec l’ACP.
« Je peux définir l’amitié comme une sympathie durable entre deux personnes ou un groupe des personnes. L’amitié naît de la découverte d’affinité ou des points communs », a dit Félicien Tumsifu pour qui, « plus les centres d’intérêt sont nombreux, plus l’amitié à de la chance de devenir forte, a renchéri cet activiste de la société civile ».
Pour Kavira Waso, étudiante en 3e graduat à l’Institut supérieur de Tourisme de Goma, « l’amitié implique souvent un partage des valeurs morales communes, une relation d’amitié peu prendre différentes formes, notamment l’entraide, l’écoute réciproque, l’échange des conseils, le soutien en passant par le partage de loisirs ».
Elle a soutenu que « le meilleur ami est la personne avec qui l’on a tissé des liens privilégiés qui surpassent l’union avec les autres personnes, a-t-elle signifié.
Pour rappel, la journée internationale de l’amitié a été proclamée en 2011 par l’Assemblée générale des Nations unies par la résolution A/65/275.
La relation d’amitié est aujourd’hui généralement définie comme une sympathie durable entre deux personnes. Elle naîtrait notamment de la découverte d’affinités ou de points communs : plus les centres d’intérêts communs sont nombreux, plus l’amitié a de chances de devenir forte. Elle implique souvent un partage de valeurs morales communes. Une relation d’amitié peut prendre différentes formes ; l’entraide, l’écoute réciproque, l’échange de conseils, le soutien, en passant par le partage de loisirs. ACP/KAKURU/KMS