La recherche des vies et moyens de relancer et renforcer le partenariat entre le Parc National des Virunga et medias établis à Goma en vue de réduire la fréquence de diffusions des messages tendant à fragiliser les efforts menés dans le cadre de la protection des écosystèmes de ce site du patrimoine mondial, était samedi au centre des échanges entre les deux parties.
Dans une brève présentation, Me Joël Wengamulay, responsable du département de la communication et des relations extérieures du Parc National des Virunga, a relevé que l’insécurité, les envahissements, le braconnage, les manipulations politiciennes, la mauvaise interprétation des textes légaux régissant la conservation et le déficit communicationnel, sont les principaux défis contre lesquels cet intervenant a invité les professionnels des medias à relever en traitant toute information relative ce plus vieux parc d’Afrique en tenant surtout compte de son contexte dynamique.
« Le traitement de l’information relative au parc devra tenir compte des défis à relever et dans le contexte du moment en relevant les efforts déployés pour contourner ces challenges », a recommandé Me Joël Wengamulayi pour qui une communication responsable s’avère importante pour donner la vraie image du Parc National des Virunga établi sur 800 mille hectares avec une diversité de la faune et de la flore.
De son coté, le Chef des Travaux Tuver Wundi, journaliste, expert en conservation de la nature, a développé la thématique relative à « la responsabilité du Journaliste face à la conservation de la nature, cas du PNVi ». Il s’est essentiellement attardé sur la rigueur, l’équilibre et la précision dans le traitement de l’information avec un accent sur la source.
Des recommandations visant à rétablir un pont entre le Parc national des Virunga et les professionnels des medias, ont sanctionné la rencontre dont la tenue a été souhaitée régulière entre les deux parties appelées à œuvrer en toute collaboration. ACP/FNG/Wet